Rapaces … …Courlis… … et autres.
Encore une fois, à ne pas compter les jours, un matin, au réveil, mon équipière me présente un calendrier en m’indiquant qu’octobre se meurt bientôt et qu’ensuite, en général, c’est novembre…
… Dés lors, si maintenant nous devons nous y mettre, à compter les jours, rien ne sera plus comme avant. Qu’à cela ne tienne, en fin d’après midi, du haut d’une falaise, nous apercevons vautrés sur un banc de sable d’un estuaire une colonie de phoques. Répartis en deux groupes d’une vingtaine d’individus chacun, nous étudions rapidement comment les approcher mieux. Nous en convenons qu’il y a cas de force majeur et prenons route inverse pour trouver une voie d’accès praticable, et rejoindre l’estuaire. Dix huit pour cent de descente rapide est annoncé ! En fait sur une faible distance qui sera négociée en première et au pas. Voie sans issue, un parking en bas, que demander de mieux ? Il nous reste à galoper dans le sable de l’estuaire avant que la marée ne monte et que nos phoques prennent le bain. Pas farouches, juste à ce demander qui sont ces deux pantins qui nous photographient ainsi. Durant une bonne demi-heure, nous avons tout loisir de les observer, accompagnés de plusieurs pélicans, dont l’un nous étonnera de son piqué dans l’eau afin de capturer sa pitance.
Joli spectacle se soir là.


Colonie de phoques sur la côte Pacifique
La famille pélican Je pose…